La Banque des Territoires nous informe que dans un rapport publié le 20 juillet, la Cour des comptes dresse un bilan sévère des “dispositifs en faveur de l’emploi des habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville”. Malgré la mobilisation des services publics de l’emploi et les 800 millions d’euros par an en faveur de l’emploi des habitants des QPV, le taux de chômage y est toujours presque trois fois plus élevé qu’ailleurs. La raison ? Une méthode inadaptée aux profils des habitants qui cumulent les difficultés.