CGET – Observatoire national de la politique de la ville (ONPV).
En détail, octobre 2018. 16 p.
Parmi les enseignements essentiels de cette étude, il est à noter, qu’en quartiers politique de la ville, trois ménages sur quatre sont locataires du parc social, contre moins de un sur cinq dans le reste des unités urbaines englobantes. Bien que les logements collectifs soient en moyenne plus grands en quartier prioritaire, les logements sont plus souvent surpeuplés, plus vétustes et cumulent plus de défauts graves de confort que ceux des autres quartiers. Par ailleurs, les ménages des quartiers prioritaires consacrent une part plus importante de leur revenu au logement, même si l’on tient compte des aides au logement dont ils sont le plus souvent bénéficiaires. Ainsi, malgré un coût du logement moindre en QPV, les revenus plus faibles des habitants engendrent un taux d’effort supérieur à celui des ménages des autres quartiers.
Télécharger et consulter l’étude « En détail » sur Des conditions de logement plus dégradées dans les quartiers prioritaires – ONPV – octobre 2018.